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La cagnotte pour le policier ayant tué Nahel à Nanterre a été clôturée, 1.636.240 euros récoltés.

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Le 27 juin 2023, Nahel, un lycéen de 17 ans, a été tué par un policier à Nanterre, après un refus d'obtempérer. Le policier, Florian M., a été mis en examen pour homicide volontaire et placé en détention provisoire. Une vidéo amateur a contredit la version initiale des faits, selon laquelle le jeune aurait foncé sur les agents. Face à ce drame, une cagnotte de soutien à la famille du policier a été lancée sur la plateforme GoFundMe par Jean Messiha, un polémiste d'extrême droite. Cette initiative a suscité l'indignation de nombreux internautes, qui ont dénoncé une provocation et une insulte à la mémoire de Nahel. La cagnotte a été clôturée le 4 juillet 2023, après avoir récolté la somme astronomique de 1.636.240 euros. Jean Messiha a affirmé que cet argent servirait à aider la femme et les deux enfants du policier, ainsi qu'à financer sa défense judiciaire. De son côté, la mère de Nahel a porté plainte contre Jean Messiha pour "escroquerie en bande orga

Une cagnotte controversée pour le policier ayant tué Nahel.

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Une cagnotte en ligne a été lancée pour soutenir le policier qui a abattu Nahel, un jeune homme de 17 ans, lors d'une intervention à Nanterre le 27 juin. Selon les organisateurs, le policier est "victime d'une campagne de dénigrement et de menaces" et doit faire face à des "frais de justice importants". La cagnotte a récolté plus de 800 000 euros, suscitant l'indignation de la famille de Nahel et de plusieurs associations. Le policier, qui a été placé en garde à vue puis relâché sous contrôle judiciaire, est mis en examen pour "homicide volontaire". Il affirme avoir agi en état de légitime défense, alors que Nahel aurait tenté de le renverser avec sa voiture. Mais selon les témoins et les images de vidéosurveillance, le jeune homme aurait tenté de fuir et n'aurait pas menacé directement le policier. La cagnotte, qui a été créée sur la plateforme GoFundMe a reçu le soutien de plusieurs syndicats policiers et personnalités politiq

Mélenchon défend sa position sur les violences urbaines après les émeutes de la mort de Nahel.

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Après les violentes émeutes qui ont secoué plusieurs villes de France suite à la mort de Nahel, un jeune homme tué par la police lors d'un contrôle routier, le leader de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a réaffirmé sa position sur les violences urbaines. Il a expliqué qu'il ne condamnait pas les actes de révolte des jeunes des quartiers populaires, qu'il considère comme une expression légitime de la colère face à l'injustice sociale et au racisme. "Je n'ai pas à condamner ceux qui se révoltent, je n'ai pas à condamner ceux qui expriment leur rage, je n'ai pas à condamner ceux qui disent qu'ils en ont assez de subir la violence policière, la discrimination, le mépris", a déclaré Mélenchon lors d'une conférence de presse. Il a ajouté qu'il assumait pleinement ses positions, qu'il avait déjà exprimées par le passé, et qu'il ne se laisserait pas intimider par les critiques de ses adversaires politiques. Mélenchon

La France secouée par une quatrième nuit d'émeutes après la mort de Nael.

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La colère ne retombe pas dans les banlieues françaises après la mort de Nael, un jeune homme de 17 ans tué par un policier à Nanterre le 28 juin. Pour la quatrième nuit consécutive, des émeutes ont éclaté dans plusieurs villes du pays, faisant des dégâts considérables et mettant à rude épreuve les forces de l'ordre. A Lyon, la situation a dégénéré dans la nuit du 1er au 2 juillet, avec des scènes de pillages, d'affrontements et d'incendies dans plusieurs quartiers. Des magasins, des voitures et des poubelles ont été saccagés ou brûlés par des groupes de jeunes cagoulés et armés. Les forces de l'ordre ont riposté avec des gaz lacrymogènes et des balles en caoutchouc. Le Raid, la BRI et des blindés ont été déployés pour rétablir l'ordre. Dans d'autres villes comme Marseille, Toulouse ou Lille, des tirs de Kalachnikov, un pillage d'armurerie et un vol de concessionnaire ont été signalés. Les émeutiers ont attaqué les forces de l'ordre, les bâtim

L’ONU exhorte la France à combattre le racisme dans les rangs des forces de sécurité.

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Un rapport du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme publié le 28 juin 2023 appelle la France à prendre des mesures pour lutter contre le racisme et la discrimination au sein de ses forces de sécurité. Le rapport fait état de plusieurs cas de violences policières, de contrôles d'identité biaisés et de propos racistes ou xénophobes de la part de certains agents. Le rapport s'appuie sur des informations collectées entre 2016 et 2021, notamment auprès d'organisations de la société civile, de victimes, de témoins et d'experts. Il reconnaît que la France a mis en œuvre certaines réformes pour améliorer le respect des droits humains par les forces de l'ordre, mais il juge qu'elles sont insuffisantes et qu'il existe un manque de transparence et d'indépendance dans le traitement des plaintes. Le rapport formule plusieurs recommandations à la France, comme la création d'un organe indépendant chargé d'enquêter sur les all