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Affichage des articles associés au libellé police

Un lobby pédophile international : les origines d'un mouvement controversé

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Depuis les années 1970, un mouvement pédophile revendique le droit d'avoir des relations sexuelles avec des enfants, au nom de la libération sexuelle et de l'amour des enfants. Ce mouvement s'est organisé à l'échelle internationale, en créant des associations, des revues, des réseaux et en bénéficiant du soutien de certains intellectuels. Cet article retrace les origines et les objectifs de ce lobby pédocriminel, qui défie la loi et la morale. La pédophilie, selon le psychiatre Marc Reisinger, consiste à "livrer des enfants au désir sexuel des adultes" ¹. Or, les pédophiles se présentent comme des "amoureux des enfants", qui leur apportent du plaisir et de l'épanouissement. Ils contestent la notion de majorité sexuelle, qui fixe en France à 15 ans l'âge à partir duquel un mineur peut consentir à des relations sexuelles avec un majeur, sauf si celui-ci est en position d'autorité ². Ils réclament donc la dépénalisation des rappo

La cagnotte pour le policier ayant tué Nahel à Nanterre a été clôturée, 1.636.240 euros récoltés.

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Le 27 juin 2023, Nahel, un lycéen de 17 ans, a été tué par un policier à Nanterre, après un refus d'obtempérer. Le policier, Florian M., a été mis en examen pour homicide volontaire et placé en détention provisoire. Une vidéo amateur a contredit la version initiale des faits, selon laquelle le jeune aurait foncé sur les agents. Face à ce drame, une cagnotte de soutien à la famille du policier a été lancée sur la plateforme GoFundMe par Jean Messiha, un polémiste d'extrême droite. Cette initiative a suscité l'indignation de nombreux internautes, qui ont dénoncé une provocation et une insulte à la mémoire de Nahel. La cagnotte a été clôturée le 4 juillet 2023, après avoir récolté la somme astronomique de 1.636.240 euros. Jean Messiha a affirmé que cet argent servirait à aider la femme et les deux enfants du policier, ainsi qu'à financer sa défense judiciaire. De son côté, la mère de Nahel a porté plainte contre Jean Messiha pour "escroquerie en bande orga

Une cagnotte controversée pour le policier ayant tué Nahel.

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Une cagnotte en ligne a été lancée pour soutenir le policier qui a abattu Nahel, un jeune homme de 17 ans, lors d'une intervention à Nanterre le 27 juin. Selon les organisateurs, le policier est "victime d'une campagne de dénigrement et de menaces" et doit faire face à des "frais de justice importants". La cagnotte a récolté plus de 800 000 euros, suscitant l'indignation de la famille de Nahel et de plusieurs associations. Le policier, qui a été placé en garde à vue puis relâché sous contrôle judiciaire, est mis en examen pour "homicide volontaire". Il affirme avoir agi en état de légitime défense, alors que Nahel aurait tenté de le renverser avec sa voiture. Mais selon les témoins et les images de vidéosurveillance, le jeune homme aurait tenté de fuir et n'aurait pas menacé directement le policier. La cagnotte, qui a été créée sur la plateforme GoFundMe a reçu le soutien de plusieurs syndicats policiers et personnalités politiq

Violences urbaines : la tension ne retombe pas dans plusieurs villes de France.

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Depuis cinq nuits consécutives, des affrontements ont éclaté entre des jeunes et les forces de l'ordre dans plusieurs villes de France, notamment à Paris, Lyon, Bordeaux et Toulouse. Ces violences urbaines ont fait plusieurs blessés et entraîné de nombreuses interpellations. Selon le ministère de l'Intérieur, les incidents ont été provoqués par la diffusion sur les réseaux sociaux d'une vidéo montrant un policier frappant un jeune homme lors d'un contrôle d'identité à Paris. Le policier a été suspendu et placé en garde à vue, mais cela n'a pas calmé la colère des manifestants, qui dénoncent les violences policières et le racisme. Les forces de l'ordre ont répliqué avec des gaz lacrymogènes, des grenades de désencerclement et des tirs de LBD (lanceurs de balles de défense). Elles ont également procédé à des contrôles renforcés et à des fouilles de véhicules. Au total, plus de 200 personnes ont été interpellées depuis le début des émeutes, selon le

Émeutes en France : le bilan s'alourdit après quatre jours de violences.

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La France est en proie à des émeutes sans précédent depuis la mort du jeune Nahel, 17 ans, tué par un policier après un refus d'obtempérer dans les Hauts-de-Seine. Malgré une légère accalmie la nuit dernière dans quelques villes, le bilan s'alourdit : plus de 1300 interpellations, 79 policiers et gendarmes blessés, des véhicules incendiés, des commerces pillés, des bâtiments publics dégradés. Les émeutiers réclament justice pour Nahel et dénoncent les violences policières. La famille du jeune homme a porté plainte contre le policier qui a tiré et a demandé le calme. L'avocat de la famille, Me Yassine Bouzrou, a affirmé que l'agent qui a tiré "n'était pas en situation d'être écrasé par le véhicule" et qu'il y avait eu "une volonté de tuer". Le gouvernement tente de rétablir l'ordre et de dialoguer avec les habitants des quartiers sensibles. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé le renfort de 2500 polici

La France secouée par une quatrième nuit d'émeutes après la mort de Nael.

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La colère ne retombe pas dans les banlieues françaises après la mort de Nael, un jeune homme de 17 ans tué par un policier à Nanterre le 28 juin. Pour la quatrième nuit consécutive, des émeutes ont éclaté dans plusieurs villes du pays, faisant des dégâts considérables et mettant à rude épreuve les forces de l'ordre. A Lyon, la situation a dégénéré dans la nuit du 1er au 2 juillet, avec des scènes de pillages, d'affrontements et d'incendies dans plusieurs quartiers. Des magasins, des voitures et des poubelles ont été saccagés ou brûlés par des groupes de jeunes cagoulés et armés. Les forces de l'ordre ont riposté avec des gaz lacrymogènes et des balles en caoutchouc. Le Raid, la BRI et des blindés ont été déployés pour rétablir l'ordre. Dans d'autres villes comme Marseille, Toulouse ou Lille, des tirs de Kalachnikov, un pillage d'armurerie et un vol de concessionnaire ont été signalés. Les émeutiers ont attaqué les forces de l'ordre, les bâtim

La police pourra-t-elle bientôt espionner les smartphones à distance ?

Un projet de loi qui suscite la polémique sera examiné au Sénat à partir de ce mardi 6 juin. Il s'agit du projet de loi «Orientation et programmation du ministère de la Justice 2023-2027», qui vise à donner aux enquêteurs la possibilité d'activer à distance les appareils électroniques, tels que les smartphones, les tablettes ou les montres connectées. Cette mesure aurait pour objectif de faciliter les investigations dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, la criminalité organisée ou la cybercriminalité. Elle permettrait aux policiers d'accéder aux données stockées ou échangées sur ces appareils, comme les messages, les photos, les contacts ou la géolocalisation. Pour cela, les enquêteurs devraient installer à l'insu des suspects un logiciel espion, en leur envoyant par exemple un lien malveillant par sms ou par une application de messagerie chiffrée, comme Whatsapp ou Telegram. Ce logiciel leur donnerait ensuite le contrôle à distance du terminal, et leur permet