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L'Organisation mondiale de la santé (OMS) est confrontée à une crise sans précédent. En effet, 194 pays membres de l'organisation ont exigé de publier les contrats passés entre les laboratoires pharmaceutiques et les gouvernements pour la fourniture des vaccins contre le Covid-19. Cette demande a été formulée lors de la 74e Assemblée mondiale de la santé, qui s'est tenue du 24 mai au 1er juin 2023 à Genève. Les pays membres de l'OMS ont exprimé leur mécontentement face au manque de transparence et d'équité dans la distribution des vaccins. Ils ont dénoncé les clauses secrètes qui favorisent certains pays au détriment des autres, ainsi que les prix exorbitants pratiqués par les laboratoires. Ils ont également réclamé des informations sur les effets secondaires et l'efficacité des différents vaccins. L'OMS, qui a reconnu l'existence de ces contrats confidentiels, a tenté de calmer la situation en promettant de mettre en place un mécanisme de pa

Le PDG de l'enseigne Leclerc, Michel-Édouard Leclerc, a déclaré sur CNews mardi 4 janvier 2022 qu'il ne s'opposerait pas à l'obligation de détenir un passe vaccinal pour accéder à certains de ses magasins si la loi venait à passer¹. Ses propos ont déclenché un appel au boycott sur les réseaux sociaux, où le hashtag #BoycottLeclerc a été largement partagé². Le projet de loi relatif à la gestion de la crise sanitaire, qui doit être examiné par le Parlement à partir du 10 janvier, prévoit en effet de rendre le passe vaccinal obligatoire pour l'accès aux "grands centres commerciaux", sur décision du préfet³. Cette mesure ne concernerait pas toutes les grandes surfaces, mais seulement celles de plus de 20 000 m², comme c'était déjà le cas en août 2021 pour le passe sanitaire. Michel-Édouard Leclerc a affirmé qu'il "appliquerait la loi" et que les clients non vaccinés "ne viendraient pas" dans ses magasins concernés par ce

Les vaccins de type ARN sont présentés comme une révolution médicale, mais ils posent de nombreux risques et incertitudes. Ces vaccins utilisent une technologie nouvelle et peu éprouvée, qui consiste à injecter dans les cellules humaines un brin d'ARN messager synthétique, porteur du code génétique d'une protéine du virus. L'objectif est de faire produire par les cellules cette protéine, qui sera reconnue par le système immunitaire comme étrangère et déclenchera une réponse immunitaire. Mais cette technologie soulève des questions éthiques, sanitaires et environnementales. D'abord, elle implique une manipulation du génome humain, ce qui pose des problèmes de respect de la dignité et de l'intégrité de la personne. En effet, l'ARN messager injecté peut interférer avec l'ADN des cellules, en modifiant leur expression ou en provoquant des mutations. Ces modifications peuvent avoir des conséquences imprévisibles sur le fonctionnement des cellules, des

La mortalité selon le statut vaccinal est-elle un secret d'État en France ? C'est ce que semble suggérer la réponse hallucinante de la Commission d'accès aux documents administratifs (CADA) à un collectif de citoyens qui a sollicité les données sur le sujet. Le collectif, composé de professionnels de santé, de juristes, de journalistes et de simples citoyens, s'est inspiré du rapport publié le 17 septembre 2021 par l'agence de santé publique britannique (Public Health England), qui révèle une surmortalité des personnes vaccinées par rapport aux non-vaccinées face au variant Delta du Covid-19. Selon ce rapport, sur les 51 281 décès attribués au Covid-19 entre le 1er février 2020 et le 29 août 2021 au Royaume-Uni, 70 % concernaient des personnes vaccinées. Le collectif a donc demandé à la CADA de lui transmettre les documents administratifs suivants : - Le nombre de décès attribués au Covid-19 en France depuis le début de la campagne vaccinale, ventilés par tranche d&

En Allemagne, un groupe de plaignants a porté plainte contre les vaccins Covid-19 devant la justice. Les plaignants ont déclaré que les vaccins ont été approuvés de manière insuffisante et que les effets secondaires n'ont pas été correctement pris en compte. Le groupe de plaignants comprend des médecins, des avocats et des scientifiques. Ils ont déposé les plaintes devant la Cour constitutionnelle fédérale allemande, affirmant que les autorités sanitaires ont violé certains droits fondamentaux en approuvant les vaccins sans suffisamment de données sur leur sécurité et leur efficacité. Les plaignants ont également contesté le fait que les vaccins ne soient pas obligatoires dans le pays. Ils ont déclaré que le gouvernement devrait imposer des vaccins Covid-19 obligatoires pour protéger la population. Cependant, les autorités sanitaires allemandes ont déclaré que les vaccins ont été approuvés après des essais cliniques rigoureux et que leur sécurité et leur efficacité ont